Témoignages d’étudiants issus de BTS DUT ATS

Après l’obtention de mon bac S, j’ai fait un DUT GEII à l’université Paul Sabatier de Toulouse.

L’ESIGELEC m’apporte toutes les notions nécessaires (technique, relationnelle, management, droit, communication…) pour devenir ingénieur. En sortant de l’école je veux être ingénieur d’affaires pour travailler dans le monde industriel et commercial, manager une équipe, répondre à des appels d’offres. Le double diplôme ESIGELEC – NEOMA me donne l’opportunité de compléter mes connaissances techniques par des compétences managériales plus approfondies.

Margaux

Étudiant d’origine marocaine, je suis venu en France pour un DUT MP à Caen. J’ai fait le choix de poursuivre mes études en alternance pour allier la théorie à la pratique. Grâce au travail de référencement des offres d’alternance, de l’écoute des étudiants en phase de recherche, sans oublier la journée de l’apprentissage organisée au sein de l’école et de nombreux moyens d’aide pour réaliser son projet professionnel (atelier CV/lettre de motivation, gestion de stress et de sentiment, interventions de RH ) j’ai pu trouver une entreprise adaptée à mes attentes, Agilent Technologies, leader mondial du secteur de la mesure me donnant ainsi une opportunité de me former sur des domaines qui me passionnent.

Anas

Après un bac STI Génie Électrotechnique et un DUT GEII j’ai continué en prépa ATS au lycée La Fayette à Clermont-Ferrand. J’ai effectué mon stage de fin d’études à l’ESIGELEC au sein de l’entreprise EGIS RAIL, société d’ingénierie en transports urbains et ferroviaires. Il s’agit d’un chantier de construction d’une ligne de tramway à Aubagne. La mission qui m’a été confiée consistait donc à surveiller les travaux énergie et LAC (Ligne Aérienne de Contact). C’est-à-dire à veiller que tout se déroulait conformément aux plans et selon le CCTP signés par les entreprises les réalisant. Il s’agissait également de vérifier que les interfaces fonctionnaient correctement, ce qui est loin d’être toujours le cas. Mon travail se répartissait équitablement entre le bureau et le terrain. Mon stage ingénieur a débouché sur une embauche en tant qu’ingénieur systèmes au sein de la même entreprise et sur le même projet. Cependant, mon poste a évolué. En effet, le chantier étant presque terminé à l’heure actuelle, il s’agit dorénavant de s’assurer du bon déroulement. Mon poste est affecté de nombreuses responsabilités (gestion des travaux / essai – sécurité électrique, animation de réunions, etc.). De plus, ma liberté d’agir afin de prendre des décisions importantes me satisfait : cela m’incite à m’y impliquer pleinement et à dépasser mes limites. La routine n’existe pas et chaque jour apporte son lot de défis à relever. Enfin, le fait d’avoir contribué à la réalisation de ce projet, qui se veut fiable et sûr est un moteur pour donner le meilleur de soi-même !

Guillaume

Avec le recul que j’ai maintenant je me rends compte que j’ai toujours été un travailleur mais qui, au vu de ses échecs à l’école, n’a jamais eu confiance en soi. A partir du moment où j’ai trouvé ma voie je me suis toujours attendu à ce que je retourne dans cet échec qui m’avait valu de prendre une direction différente de tous mes amis du collège. J’ai continué à travailler dur afin de me prouver et de prouver aux autres que j’étais capable de faire de grandes choses. J’ai fait mon BTS et mon entreprise de l’époque me poussait à arrêter mes études pour que je rentre en CDI chez eux. Mais j’avais encore des choses à me prouver et j’ai continué avec une licence PRO. A la fin de ma licence, je me suis dit qu’il était impossible pour moi de faire une école d’ingénieurs. J’étais tellement persuadé que je ne serais pas capable que j’ai pris le poste de chef de chantier que mon entreprise me proposait. J’ai tout de même recherché une école qui m’accueillerait pour réaliser en alternance une formation d’ingénieur d’affaire. J’ai trouvé une école sur Paris et une autre sur Rouen. Toutes les deux proposaient d’entrer sur entretien oral car pour moi il était impossible de réussir un concours écrit, car j’avais perdu beaucoup trop de notion de mathématiques, physique et autres en réalisant un parcours long (BEP, BAC PRO, BTS, Licence PRO, deux ans d’arrêt.). Les deux écoles proposaient une formation qui correspondait exactement à ce que je recherchais. Je les ai contactées par téléphone, j’ai fait de nombreuses visites sur place afin de me faire connaitre, je suis allé sur les salons pour avoir plus d’informations et j’ai déposé mon dossier dès l’ouverture des candidatures. Lors de cet entretien à l’ESIGELEC,  j’ai voulu faire part de toute ma motivation à rentrer dans l’école et cela a porté ses fruits. J’espère en effet, que ma motivation en est à l’origine plus que mon contrat signé avec une entreprise. L’ESIGELEC donne une diversité de cursus possible pour l’obtention du diplôme d’ingénieurs qui n’est pas connue de tous les postulants à l’école. Ayant été apprenti durant cinq ans et en poste durant deux années, j’ai commencé à avoir des charges fixes qui m’imposaient d’être apprenti. De plus je suis arrivé à l’école avec une promesse d’embauche. Le cursus de l’apprentissage était, de ce fait, pour moi. L’idée d’avoir un poste d’ingénieur dans un bureau de maitrise d’œuvre m’attirait terriblement. La maitrise d’œuvre est en amont du projet de construction. Les ingénieurs chargés d’études ont en charge d’estimer le coût d’un projet et de l’étudier dans sa totalité afin de réaliser un appel d’offres du même type que ceux sur lesquels j’avais travaillé à répondre les années précédentes. Le bureau d’étude en maitrise d’œuvre me donnait la possibilité d’évoluer dans mes connaissances du monde du bâtiment. La filière initiale était pour moi une porte de secours si mon entreprise ne donnait pas suite à ma demande d’embauche mais il aurait été très difficile pour moi de retourner en continu, sur les bancs de l’école sans avoir cette période entreprise. Mais j’étais tout de même prêt à faire cela s’il le fallait.

Michel

Ma passion pour l’aéronautique m’a mené à l’ESIGELEC. Voici comment… Je suis un fou d’avions et à la base, je dois avouer que je voulais devenir pilote de chasse. Malheureusement physiquement je n’ai pas pu mener à bien ce projet.

Cette passion est née lors de ma première visite au salon du Bourget en 1989 (depuis je n’ai raté aucune édition) durant laquelle j’ai pu voir des avions de chasse (Mirage 2000, Rafale A). Grâce à des rencontres avec divers ingénieurs aéronautiques (rencontres en école et lors de mes stages), j’ai pu découvrir ce milieu d’ingénierie. Le choix de l’ESIGELEC fût évident ! L’école est en effet vraiment reconnue par les industriels du secteur, car au-delà des dominantes, de son réseaux d’entreprises partenaires, elle possède un institut de recherche en pointe dans ce domaine.

Et je suis ravi de mon choix car, après m’être éclaté durant ma scolarité, je prends un plaisir fou à faire le métier dont j’ai rêvé, dans le secteur qui me passionne. Après avoir effectué mon stage de fin d’études chez Airbus à Toulouse, je travaille aujourd’hui en tant qu’ingénieur Senior chez ALTEN, avec 2 missions principales : ingénieur support et coordinateur technique sonde air data, pour UTAS (client Dassault (F5X & F7X) & Airbus A380/A400M & A350) et ingénieur responsable intégration suite avionique ATR-600, ATR.

Et en tant qu’ancien de l’ESIGELEC je continue bien sûr à suivre les actus de mon école. C’était génial à mon époque mais c’est encore mieux maintenant !

Etienne

Témoignages d’étudiants issus de CPGE

L’oral a été primordial dans mon choix puisque ça a été ma première impression de l’école mais aussi ma dernière décision finale. Je ne me souviens que d’une seule personne, une étudiante de deuxième année sur le point de partir aux USA pour un double diplôme. Elle nous a raconté son parcours, et a parlé avec nous pour essayer de nous détendre. Vingt minutes plus tard, je l’ai retrouvée dans le jury en face de moi. Ce qu’elle ne savait pas c’est que, non seulement ce qu’elle avait dit m’avait détendue, mais en plus elle avait renforcé ma détermination et ma motivation. Pendant tout l’entretien, la seule chose à laquelle je pensais c’était : “Dans deux ans ce sera moi, dans deux ans, moi aussi je partirai à l’étranger ! J’y arriverai !”

Deux ans plus tard, c’était moi, à force de persévérance et en étant pro active au sein de l’ESIGELEC, j’ai décroché mon échange à Polytechnique Montréal et pour l’anecdote, je faisais aussi partie du jury juste avant mon départ ! Le choix de chacun se joue sur des détails, sur des faits concrets ou sur de l’émotion.

Nous avons tous nos propres raisons de choisir une école plutôt qu’une autre. Pour moi, le choix final s’est fait avec les oraux. J’ai vu des choses qui m’ont plu chez certains et déplu chez d’autres. Mon choix final a été l’ESIGELEC. Quelle que soit l’école que vous choisirez, faites le pour des raisons qui vous sont chères à vous et vous seul.

Axelle

Suite à un bac S-SVT option mathématiques, j’ai intégré une CPGE au lycée Saint-Denis, à Annonay. S’en est rapidement suivi la période des concours, des résultats, des oraux, puis DU choix ! À ce moment là, ce que l’on veut faire n’est pas toujours en adéquation avec ce que l’on peut faire. Soit on se relance dans une troisième année de dur labeur, soit on décide d’avancer en intégrant l’une des écoles dans laquelle nous sommes admis. Et j’ai choisi l’ESIGELEC ! En effet, la dominante ingénierie des systèmes embarqués proposée par l’établissement, semblait être la meilleure alternative pour intégrer le secteur de l’aéronautique et de l’aérospatial. De plus, l’entretien s’étant bien passé lors des oraux, basé sur un aspect plus humain que technique, j’ai pu apprécier le contact avec plusieurs étudiants des promotions précédentes, ce qui a sans aucun doute été l’élément déterminant de mon intégration dans cet établissement.

Animée d’une vie associative rayonnante, avec ses promotions de plus de 400 élèves venant du monde entier, j’ai pu constater que la direction investissait beaucoup dans les relations internationales, par le biais de cursus d’échange à l’étranger notamment. Également armée de son propre centre de recherche, l’IRSEEM, et de ses nombreux enseignants-chercheurs, participant au maintien de son niveau de veille technologique, l’ESIGELEC est une référence dans le domaine du génie électrique, et plus particulièrement appliqué aux systèmes embarqués.

J’ai donc fait un pari gagnant en choisissant d’intégrer cette institution, sa création il y a plus de 100 ans lui ayant ainsi permis d’acquérir une grande notoriété, et de développer un impressionnant réseau d’anciens élèves, sur lequel nous pouvons nous appuyer lors de nos projets et de nos stages. Avoir le choix est une chance, l’important n’est pas d’où tu viens, mais jusqu’où tu iras !

Louis

J’étais à la recherche d’écoles susceptibles de me faire évoluer dans les systèmes embarqués. L’ESIGELEC proposait cette dominante, de plus l’école avait l’air dynamique et pleine d’opportunités, que ce soient des opportunités associatives, éducatives et professionnelles.

Dans mon entourage, je n’entendais que de bons échos de cette école. J’ai en effet connu quelques personnes qui ont eu l’occasion de passer leur diplôme d’ingénieur à l’ESIGELEC, c’était d’ailleurs par le bouche à l’oreille que j’avais tout d’abord entendu parler de cette école. Elle avait en effet une bonne réputation, un bon classement et la dominante qui m’intéressait, j’avais donc décidé de passer les oraux. L’oral est un passage important dans le choix de son école. Certes, vous êtes là pour être jugé sur vos compétences mais aussi là pour vous faire une première impression sur l’environnement de l’école, sur l’ambiance, sur la qualité de l’enseignement et sur les anecdotes des étudiants qui sont présents. L’ambiance lors de ces oraux était très conviviale. Les élèves de l’ESIGELEC ont été très accueillants, très souriants et vous «déstressant» en un rien de temps. Ils nous exposaient les associations, nous donnaient des conseils pour l’oral, nous expliquaient ce qu’ils avaient eu l’occasion de faire et ils nous demandaient de nous présenter chacun notre tour. C’était assez intéressant, surtout de connaître les origines et les horizons de tous les candidats. Il en venait de tout l’hexagone et même de l’étranger ! Je dois avouer que j’ai vécu les oraux de l’ESIGELEC de manière très détendue et très excitée à la fois. Les étudiants n’avaient fait que confirmer que c’était cette école que je voulais.

L’étape importante de cet oral est le passage devant le jury. Cela consistait à tirer au sort un sujet d’actualité ou de culture général, de le préparer pendant 25 minutes et de le présenter devant le jury. En général, les sujets sont créés en fonction des faits divers qui amènent à un débat ouvert. C’est alors que j’ai pensé que le plus important était d’être organisée, concise, d’argumenter sur ses propos et de ne pas hésiter. Vous vous souvenez des oraux de français ? Et bien, je dirais que la structure est la même, tandis que le sujet lui est certainement plus «facile» ou je dirais plutôt «aisé». Il n’y a pas besoin de préparation spécifique pour ce genre de sujet. Juste être un peu curieux et au fait de l’actualité peut-être. Un fois le sujet développé, et les questions posées, j’ai notamment eu à parler de mon envie d’intégrer l’ESIGELEC pour sa dominante des systèmes embarqués. Je ne connaissais les systèmes embarqués que par les recherches que j’avais pu en faire. L’ESIGELEC offrant un cursus généraliste, cela me permettait de pouvoir changer d’horizon au cas où ma vision de cette spécialité n’était pas ce à quoi je m’attendais. De plus, lors de cette journée, une certaine chose a attiré mon attention, plus que mon attention, mon âme de pilote endormie, ce côté de moi qui cherchait la vitesse, l’adrénaline et l’accomplissement de mon objectif perdu : les 24 heures motonautiques de Rouen !

C’était décidé, une école généraliste comportant une dominante dans les systèmes embarqués, proche des entreprises, ayant une bonne réputation, où la vie associative est importante et active et notamment une association particulièrement attractive pour moi.

Autant de points essentiels et importants qui font que j’ai rejoint les bancs de l’ESIGELEC, un parcours extraordinaire, plein d’opportunités et inoubliable.

Amandine