SEMERU (330 salariés, CA : 50 M€ et 7 agences nationales) conçoit et développe des solutions de systèmes intelligents. Elle est impliquée dans les infrastructures et aménagements urbains, le bâtiment connecté, le transport (tramway, métro, bus), les réseaux d’assainissement et le facility management. « Nous sommes dans une recherche permanente d’innovation », souligne le Directeur Général Christophe Bellembois. Des solutions de guidage, de la gestion de données, de la supervision de réseaux, du pilotage d’installations : les compétences de SEMERU épousent les mutations des métiers de l’énergie et des services vers plus de digitalisation, de communication et d’intelligence.
L’innovation, un axe fort
« SEMERU évolue dans de très nombreux secteurs qui font écho à ce que nous proposons à nos étudiant-e-s. Nous avons vraiment des choses à faire ensemble », renchérit le Directeur Général de l’ESIGELEC, Étienne Craye.
La convention concerne un très vaste champ d’actions : recrutement de stagiaires, apprenti-e-s ou diplômé-e-s, projets ingénieur, programmes pédagogiques, collaboration R&D,… « Nous mettons en place un partenariat actif, qui apporte des éléments positifs aux deux parties. L’innovation en sera un axe fort », poursuit Étienne Craye. « Ainsi, sur des sujets comme la Smart City, nous pourrons être en mesure de faire évoluer notre offre, d’apporter de nouvelles compétences, d’améliorer la formation de nos élèves. Des projets d’innovation, de recherche et développement pourront être également menés avec notre laboratoire de recherche IRSEEM ».
Pour SEMERU, la volonté est de pouvoir faciliter le recrutement de profils répondant à ses besoins. « Un bon Ingénieur, c’est un état d’esprit, une capacité à s’intégrer dans un groupe, à faire vivre des idées et à les développer, d’offrir la meilleure solution aux clients et à leur environnement », définit Christophe Bellembois. « Nous ne sommes pas coutumiers des partenariats avec des établissements de formation. Ce que nous recherchons, c’est la qualité du dialogue. Nous avons un réel besoin d’entretenir des relations avec des écoles d’ingénieurs généralistes ».